Mais hier c'était notre jour de chance ( avec un petit coup de pouce d'intenet pour les horaire), on s'est pointer a l'heure préetablie et on a vu le miracle, avec en plus de la brume!!!!
Bon desolé, de fait c'est des photo la nuit, donc c'est pas mal flou , j'ai essayer d'en trouver des potables dans la masse de photo flou que j'ai fait. Mais je vous assure qu'en net c'est impressionnant!!!
ça sent le décor de film fantastique à plein nez!!!;-)
RépondreSupprimeralors toujours aussi agréable cette vie québécoise?
Les Claire’z,
RépondreSupprimerJ’ignore comment vous en êtes arrivées à découvrir l’existence du Castor-Garou…
Mais je dois reconnaître que je m’en sens soulagé ; c’était un secret lourd à porter, aussi il me réjouit d’enfin le partager.
Vous êtes à sa recherche, et il se trouve que je dispose d’informations à son sujet ; seulement, il va vous falloir gagner ma confiance si vous désirez mener votre quête à bien. Car si tel est le cas, nous pourrions mutuellement, d’une alliance, bénéficier.
Attendez une minute… Vous ne me croyez pas. Je le ressens d’ici…
Très bien, pour vous prouver mon authenticité, il va me falloir faire le premier pas.
Voici une une fable dont j’ai récemment hérité, elle s’intitule : « La Traque du Castor-Garou », et je vous la livre ici, en guise de bonne volonté.
Prouvez-moi que votre quête est sincère, et je vous transmettrais de nouveaux éléments…
8)La traque du Castor-Garou
RépondreSupprimerJuin 2009.
Les tavernes alentour de Sombre-Bois,
Des trappeurs les plus téméraires, regorgent.
Fiers prédateurs aux innombrables exploits,
À la mention de cette fable, s’engorgent.
Une de ces histoires,
Qui dans l’embarras, resplendissent ;
Récits sans gloire,
Assurément, dans l’oubli, finissent.
Au crépuscule d’un soir de tempête,
L’un d’entre eux pourtant, se mit en tête
D’accomplir cette insurmontable quête.
Et du castor-garou, ramener la tête…
/
Ce dernier ne tarda point ;
Et ses affaires, en un rien,
En un tas,
Rassembla.
Sans méfiance,
Notre trappeur suivit le cours d’eau ;
Riant d’avance,
À la fortune qu’il ferait d’une telle peau.
Il allait bon train,
Car d’incides, sur le chemin,
N’en manquait point ;
Sans avoir à chercher loin…
Et finalement,
Au bord d’un étang,
La forme familière, alors il découvrit.
Dissimulé, il observait, ahuri :
D’immenses dents, luisant,
Certainement, le narguant ;
Ce pelage épais,
Ce regard mauvais,
Pourquoi donc chercher à comprendre ?
Pour sûr, il ne pouvait se méprandre…
/
Ayant repéré sa cible, en un flash,
S’était vivement emparé de sa hache.
Et sur le rongeur lors identifié,
Ne manqua certainement pas, de se ruer…
Sans se douter,
Que ce dernier,
Au flair aguisé,
L’avait repéré,
De fait, débusqué
Au dernier sentier.
/
Cet artiste du bois,
Avec ténacité,
Avait confectionné
Un piège de premier choix.
Talentueux sculpteurs,
Habiles ingénieurs,
Les castors demeurent.
Tout était pensé ;
Bien mis en valeur,
Demeurait le leurre ;
À même d’appâter
L’avide trappeur.
/
Tel qu’anticipé,
Le leurre confectionné,
La hache rouillée, heurta.
Et, des mains frêles du trappeur,
De surprise, s’échappa,
Tandis que survint sa stupeur.
Pourtant, il n’eu le temps, pleinement,
De réaliser ce qui se produisait ;
Un contrepoids astucieusement ajusté,
Sa tête vint frapper ; l’assommant.
Alors qu’impuissant, au sol, il s’affalait,
Un mouvement sournois, tout de même, il perçut…
Du castor-garou, à prèsent à portée,
Un coup saillant au mollet, lors, il reçut.
Ses yeux mi-clos purent lui révéler
Une queue plate, entre les arbres, se défiler…
Ainsi c’en fut fini,
Du trappeur aguerri ;
Vautré dans la boue et mordu.
À cet instant, tout fut perdu :
La malédiction se perpetua,
Et le cycle, dès lors, recommenca...
/
Aujourd’hui encore,
Tous guettent l’aurore ;
Où, le moment venu,
Ils n’entendront plus,
Les craquements et les coups de dents
Qui les gardent éveillés la nuit durant…
-=Fin=-